Tous les soirs,
des questions angoissantes vous assaillent :
Votre enfant va-t-il (enfin) dormir ce soir ?
Va-t-il se réveiller cette nuit ?
A-t-il peur du noir ou de la solitude ?
A-t-il mal ?
A-t-il faim ou soif la nuit ?
Est-il malade ?
Est-il assez ou trop couvert ?
Et vous vous posez sans cesse
ces mêmes questions si importantes :
Comment apprendre à votre nourrisson à bien dormir ?
Comment faire dormir votre enfant qui ne veut pas se coucher ?
Comment ne plus vous lever la nuit
Si vous vous posez ces questions,
vous êtes au bon endroit.
Vous avez été tellement heureux lors de sa venue au monde, mais ces nuits blanches répétées vous gâchent ce bonheur ressenti à sa naissance.
Vous espérez vivre bientôt cette joie toute simple de voir grandir votre bambin, jour après jour, sans stresser dès la tombée de la nuit ou dès qu’il faut le coucher.
Mais comment ne plus vous sentir angoissé(e) dès que vous l'entendez pleurer seul dans son petit lit, tiraillé(e ) entre l'envie de le serrer fort dans vos bras et la crainte de mal faire, d'être trop "permissive/permissif" ou l’étrange impression de ne plus le supporter et, dans tous les cas, de recevoir moult critiques de la part de votre entourage ?
Vous voudriez bien savoir si votre enfant pleure la nuit :
parce qu'il souffre,
parce qu'il est malade
ou encore parce qu'il a faim.
Être parent d'un tout petit enfant n'a rien de simple.
Tous les parents vivent de tels moments de désarroi,
vous n’êtes pas les seuls.
Saviez-vous qu'une consultation pédiatrique sur 5 est motivée par ce type de question ?
Et tant d’avis et de conseils multiples des amis et de la famille,
tant de remarques grinçantes des voisins, tant de lectures d’articles contradictoires
Vous ont fait perdre confiance dans votre bon sens de parents.
Vous vous sentez au bord de l'épuisement,
de la culpabilité
voire même du divorce
à force de reproches échangés l'un envers l'autre ?
Que faire ?
Comment faire ?
Pourquoi VOTRE tout petit a-t-il autant de difficultés à fermer les yeux au passage du marchand de sable ?
Pourquoi LUI lutte-il contre le sommeil alors que d'autres ont l'air de s'endormir paisiblement ?
Toutes ces questions, ces sous-entendus, ces remarques, ces reproches,
vous ont fait perdre confiance dans votre bon sens de parents.
Combien de temps
allez-vous pouvoir tenir encore le coup ?
Le sommeil est effectivement
une nécessité vitale absolue ...
... et en ce sens, vous avez tout à fait raison de vous en préoccuper.
Et rassurez-vous, les troubles du sommeil chez l'enfant,
tout comme chez l'adulte d'ailleurs, ne sont que très rarement dûs à une cause fonctionnelle ou organique.
Mais surtout, les troubles du sommeil chez l'enfant ne se traitent absolument pas à grand renfort de médicaments, somnifères ou tout autre sirop du même genre, car au lieu de résoudre le souci, ils l'aggravent très souvent.
Le sommeil est un équilibre biologique fondamental mais fragile, qui se construit progressivement dans les premiers mois de la vie de votre enfant, selon un enchaînement programmé, corrélé à sa maturation cérébrale.
Parce que le sommeil est indispensable pour votre nouveau-né,
Parce qu'il lui permet de grandir et de développer ses capacités cérébrales, mais aussi de récupérer toute l’énergie dépensée dans la journée.
Parce que votre enfant a besoin d'un sommeil de qualité pour aller bien physiquement,
Parce qu'il en a besoin aussi pour aller bien émotionnellement, pour avoir une relation apaisée avec vous et sa fratrie, pour ne pas risquer de mettre en péril sa relation avec vous.
Mais parce qu'il en a également besoin pour que son cerveau se fabrique bien.
Et parce que, de sa qualité du sommeil de maintenant, dépendra la qualité de son sommeil quand il sera adolescent puis adulte.
Et parce qu'enfin, c'est l'harmonie de toute votre famille et votre propre bien-être qui sont en jeu,
Il est donc essentiel que vous possédiez les bonnes clés, pour apprendre progressivement à connaître le rythme de sommeil de votre enfant pour pouvoir remédier à toutes ces difficultés que vous rencontrez actuellement.
Les difficultés d'endormissement de votre enfant
ou encore ses phases de réveils nocturnes
sont heureusement, les troubles les plus faciles à corriger
et c'est ce que je vous propose de partager avec vous.
Mais pour corriger un problème,
faut-il encore en connaître les mécanismes.
Dans notre société, peu de personnes connaissent leurs rythmes de sommeil, les cycles et les phases de celui-ci.
Pendant des siècles, aucune recherche n’a porté sur son étude.
Ce n’est qu’avec l’usage de l’électroencéphalogramme, qui permet d’enregistrer l’activité électrique du cerveau, que l’on a pu commencer à analyser le sommeil des adultes en 1937 aux États Unis grâce au Dr Loomis...
Saviez-vous qu'il aura fallu attendre 1966 pour qu'à l'hôpital de Port Royal à Paris, soient effectués les premiers EEG sur des enfants prématurés ou hospitalisés et ....
.... Saviez-vous qu'il faudra encore attendre jusqu'en 1980 pour qu'apparaisse l'idée de filmer et d'enregistrer des enfants en bonne santé pendant leur sommeil afin d'en comprendre les mécanismes
Comme vous pouvez le constater, les connaissances concernant les mécanismes du sommeil du nouveau-né et de l'enfant sont en fait toutes récentes et par conséquent beaucoup moins abondantes que celles concernant le sommeil de l'adulte.
Et si finalement la qualité du sommeil de votre enfant n'était que la somme de tous les facteurs dont est constituée sa vie, à savoir :
ses horaires de sieste ?
ses horaires de repas ?
son niveau d'activité physique ?
sa vie affective et relationnelle ?
son état de santé ?
son environnement ?
l'attention de ses parents ?
l'ambiance familiale ?
Le sommeil s’organise en rythmes électriques
qui définissent des stades
qui se complexifient avec la croissance,
en cycles qui associent plusieurs stades,
et en périodes qui alternent jour et nuit.
La durée du sommeil est variable et déterminée génétiquement :
ainsi, en grandissant, votre enfant peut être un petit ou un grand dormeur, être du matin ou du soir, comme l’un ou l’autre de ses parents.
Cela vous intéresse sans doute de savoir que, chez le tout-petit, le sommeil se partage en cycles de 2 temps :
- le 1er de sommeil agité dans lequel il s’endort
- suivi d’un temps de sommeil calme
Et l’association de ces 2 phases correspond à un cycle de 50 minutes.
Il existe donc près de 20 cycles de sommeil par 24 heures dans le 1er mois de vie.
Le sommeil agité représente plus de la moitié du sommeil total du nouveau-né.
Pas étonnant qu’il gigote sans cesse !
Rassurez-vous, le sommeil agité des premiers jours, très instable, entrecoupé de fréquents éveils et de mouvements corporels va progressivement laisser sa place à un sommeil plus stable, plus profond et plus long .
De 2 à 6 mois,
les périodes de sommeil sont un peu plus longues, le cycle reste court de 60 minutes environ et comporte 3 stades, comme chez le grand enfant et l’adulte c’est-à-dire :
- un stade de sommeil lent léger,
- un stade de sommeil lent profond
- et un stade de sommeil agité ou paradoxal.
Entre les cycles, votre bébé aura une courte période d’éveil.
C’est environ vers 4 mois
que commencent à se mettre en place des nuits complètes, très progressivement.
Après 6 mois,
ses périodes de sommeil seront plus longues, il pourra manger moins souvent et apprendra peu à peu à faire ses nuits.
Il y a entre chaque cycle de sommeil,
qui, selon les âges, dure de 50 mn à 2 heures, des courtes phases d’éveil où l’enfant peut se réveiller et doit pouvoir se rendormir en quelques minutes
La survenue entre minuit et 5 heure du matin d'éveils brefs chez les enfants les plus jeunes, est normale.
Mais des difficultés apparaitront si l'enfant ne sait pas s'endormir seul dans son lit, dans sa chambre
Les avancées des études en neuropsychologies et en neurosciences
ont montré clairement la différence entre les besoins et les habitudes.
Si votre enfant a pris l’habitude de s’endormir :
- en votre présence,
- avec une sucette
- ou la lumière allumée,
il lui faudra retrouver tous ces paramètres pour se rendormir lors de ces éveils nocturnes.
Ce n’est donc pas un besoin de votre présence
ou de la sucette ou de manger
qui l’empêche de bien dormir,
c’est juste une « mauvaise » habitude
que l’on peut progressivement supprimer
Peut-être vous posez vous ces questions :
Comment être certain(e) que mon enfant est bien réveillé ?
Comment ne pas confondre les mimiques qu'il fait pendant ses phases de sommeil agité avec des signes de réveil ?
Dois-je réveiller mon bébé pour lui donner à manger ?
Que faire si mon bébé prend le jour pour la nuit ?
Pourquoi mon bébé dort-il si peu ? ou au contraire "autant" ?
Comment aider mon bébé à établir son rythme ?
Pourquoi mon bébé se réveille-t-il plusieurs fois par nuit ?
Faut-il le nourrir à chaque fois qu'il pleure ?
Les pleurs du soir : que faire ?
Lorsqu'il pleure, faut-il le prendre ?
Quelle est la meilleure façon de coucher un bébé ?
Doudou, oui ou non ?
La tétine ou le pouce ?
Mobile ou boîte à musique ?
Autant de questions
qui demandent des réponses précises
mais aussi adaptées à votre enfant.
Et si vous pouviez profiter
de plus de 30 années d'expérience d'une pédiatre, est-ce que cela vous rassurerait ?
Alors si vous souhaitez prendre soin de votre enfant,
de sa santé et de son développement
et si vous désirez le comprendre
En évitant les crispations et les tensions familiales engendrées par des comportements difficiles,
Sans avoir peur du regard et des critiques des autres
Et sans risquer de se perdre dans le jargon médical ou la nébuleuse d’internet
Pour permettre à votre enfant de grandir heureux et en bonne santé dans un climat familial épanoui, bénéfique sécurisant
Grâce à des trucs, astuces et conseils de pédiatre,
fruits d’une longue expérience,
adaptés, simples, efficaces et validés avec satisfaction,
dans le respect des connaissances médicales et scientifiques actuelles
mais aussi en s’appuyant sur vos compétences, vos valeurs et votre bon sens, avec bienveillance, indulgence et patience
Alors, lisez attentivement ce qui suit.
Tout d'abord je vais me présenter.
Je m’appelle Nicole Schmidt de la Brélie
J’habite et j’exerce dans le Berry dans la région Centre Val de Loire.
Je suis pédiatre depuis plus de 30 ans, également spécialiste de Médecine Interne et de Médecine du Sport
J’ai exercé la pédiatrie dans différents lieux et sous différentes formes : en Afrique comme en Europe, tout d’abord en dispensaire puis à l’hôpital, mais aussi en maternité, en crèche, à l’école, en exercice libéral et actuellement comme directrice médicale d’un Centre d’Action Médico-Sociale Précoce et pédiatre d’un Centre Médico Psycho Pédagogique où je travaille en équipe pluridisciplinaire.
J’exerce aussi dans un centre d’enfants polyhandicapés et auprès d‘enfants autistes.
Cette question du sommeil est au cœur de toutes les consultations,
du nouveau-né à l’adolescent ou même au jeune adulte en période de stress (préparation d’examen ou démarrage professionnel).
Quel que soit mon lieu d’exercice, à l’hôpital, en cabinet de ville, en crèche, en centre de soins pour enfants en difficulté, je rencontre quotidiennement des enfants en manque de sommeil et des parents tracassés et inquiets de cette situation.
C’est pourquoi j’ai décidé de faire cette formation et de vous apporter des techniques et des conseils pratiques, pour vous aider et pour vous éviter aussi quelques comportements ou quelques erreurs qui risquent d’aggraver la situation.
Mère et maintenant grand-mère, j’ai connu moi-même dans ma famille ces périodes si difficiles où l’on se dit « je n’en peux plus, je ne tiendrai plus ».
Je me souviens même de cette affreuse pensée « pourvu que je ne fasse pas un bêtise ».
Et comment arriver à l’heure au travail, prendre la route le matin et rester vigilante et attentive toute la journée ?
Et comment soutenir les parents que je rencontrais et qui semblaient perdre pied devant l’agitation nocturne de leur enfant ?
Je me souviens de ce couple accompagné de leur fillette de 6 ans qui me confiait :
« Docteur , depuis 6 ans , nous n’avons pas passé, mon conjoint et moi, une nuit correcte »
C’étaient des parents intelligents et bienveillants, apportant à leur enfant le confort matériel et l’attention nécessaire, leur fillette était en bonne santé.
Alors comment les aider à sortir de cet enfer ?
Malgré de bien longues études, je ne me souviens pas que ce sujet m’ait été enseigné par mes professeurs de médecine.
Heureusement, la formation des médecins ne s’arrête pas au temps de la fac et j’ai donc, il y a quelques années, suivi de nombreuses formations sur ce thème du sommeil de l’enfant, complétées par les riches apports des psychologues et les neuro-sciences.
C’est en m’appuyant sur ces connaissances, que j’ai donc pu expliquer aux parents le sommeil de leur enfant et reprendre avec eux, pas à pas, patiemment, les étapes du sommeil, les inviter à changer quelques habitudes et oser mettre des limites à leur fillette.
Celle-ci a volontiers participé à notre discussion et à accepter d’être une véritable actrice de ce changement de rythme qu’on lui proposait.
Quelques jours plus tard, le père, avec un bouquet de fleurs, est venu me remercier, les larmes aux yeux. Il avait en même temps retrouver le bonheur de sa fille et une complicité amoureuse avec sa femme.
J’ai, par la suite, présenté au corps médical, aux parents, aux personnels de santé, aux éducateurs et enseignants de nombreuses conférences sur ce sujet et à chaque fois, j’ai eu le même commentaire :
«Docteur, quel dommage que l’on ne m’ait pas dit cela plus tôt ».
Alors si vous désirez qu'enfin quelqu’un vous guide, vous soutienne et vous aide à trouver les solutions pour que votre enfant bénéficie d’un endormissement facile, jouisse d’un sommeil réparateur et que le rythme de vie à la maison redevienne NORMAL.
Si vous rêvez de pouvoir passer vos nuits auprès de votre conjoint plutôt qu’auprès de votre enfant,
Si vous avez envie de partager de doux câlins avec votre enfant le soir et le voir s’endormir le sourire aux lèvres. et
si vous espérez vivre le réveil de la maisonnée en pleine forme après une nuit sans interruption,
Alors rassurez-vous,
hormis de gros soucis et de graves ennuis de santé,
vous pouvez tous retrouver le bonheur de dormir.
Je vous propose cette formation
que j'ai créée avec coeur
et qui va vous permettre de découvrir :
Comment offrir un bon sommeil à votre enfant
dès aujourd’hui sans vous fâcher,
sans craindre son opposition ou ses pleurs
et sans médicament
même si vous pensez déjà avoir tout essayé
Ce programme est constitué de 5 étapes, à l'issue desquelles vous saurez faire face à l’apparition de nouvelles périodes difficiles de troubles du sommeil en cas d’événements particuliers (santé, souci familial ou scolaire, dispute etc) sans recourir forcément à des médicaments ou retomber dans un cycle infernal.
ETAPE 1 : Mise en place de votre plan d'action personnalisé
Vous allez y découvrir le plan d’action personnalisé à suivre pour permettre à votre enfant d’obtenir un sommeil régulier et réparateur grâce à une méthode simple, facile à appliquer, éprouvée, sans médicament ni objet particulier, ni achat supplémentaire.
Nous allons ensemble voir comment respecter ses phases de sommeil en fonction de son âge, de son rythme de vie et de son horloge biologique personnelle sans que cela vienne perturber votre sommeil et votre joie de vivre.
Etape 2 : Comment permettre à votre enfant de s'endormir rapidement
Découvrez comment lui permettre de s’endormir rapidement, à des heures raisonnables dans son propre lit sans lutter contre le sommeil, sans se relever ou vous appeler sans cesse, en changeant simplement une habitude.
Grâce à une méthode facile à mettre en place en quelques jours, vous verrez votre enfant content d’être au lit et heureux de se laisser gagner par le sommeil sans que votre présence soit nécessaire.
Etape 3 : Comment retrouver des nuits sereines
sans crainte qu’il vous appelle systématiquement en milieu de la nuit ou qu’il vous réveille pour vous demander quelque chose.
A la fin de cette étape vous saurez faire face aux cauchemars, aux terreurs nocturnes, au somnambulisme, aux nuits agitées ou angoissées, sans avoir besoin de laisser la lumière allumée ou la porte ouverte.
Etape 4 : Comment avoir un enfant en pleine forme dans la journée,
sans coup de barre lié à la fatigue, capable de suivre l’activité scolaire ou sportive sans être épuisé ou grognon, grâce à des techniques simples de gestion par lui-même de son cycle veille sommeil.
A la fin de ce module, vous saurez si la sieste ou des temps de calme dans la journée sont nécessaires et combien de temps lui accorder et vous saurez aider votre enfant à reconnaître ses propres signes de fatigue.
Etape 5 : Comment aider votre enfant à organiser sa journée pour se préparer un bon sommeil
et avoir une vie familiale est plus sereine et détendue
Vous verrez comment gérer le cycle jour-nuit selon la période de l’année, limiter la quantité de lumière le soir notamment avec le contrôle du temps passé devant les écrans informatiques ou télévisés.
Vous saurez dans quelles limites lui permettre des écarts en période de vacances ou de fête et comment contrôler les décalages de phase
(endormissement tardif, réveil tardif aussi)
En complément de cette formation sur le sommeil :
je vous propose, si vous le désirez,
2 compléments sous formes de 2 modules supplémentaires
1ère option : "objectif pleurs apaisés"
ou comment apaiser et/ou éviter, les pleurs du tout petit, si fréquents et si désarmants.
Les pleurs font partie du développement normal des nourrissons mais provoquent dans l’entourage parental des bouleversements réactionnels
La naissance d'un enfant constitue une période de transition et un remaniement psychologique chez tous les parents.
Le stress induit impose des ajustements émotionnels, comportementaux et cognitifs.
Comprendre la nature et la raison des pleurs et savoir les prévenir ou les apaiser vous permettra d’éviter ces accidents terribles du syndrome du bébé secoué.
Sachez que les pleurs incessants sont particulièrement associés à la prématurité, à la séparation parents enfants (hospitalisation, par exemple) à des difficultés d’acquisition d’un rythme de sommeil régulier ou à des problèmes alimentaires.
Les pleurs du nouveau-né suivent une évolution assez standard en 3 dimensions principales :
La quantité moyenne d'agitation et de pleurs quotidiens commence à augmenter à partir de la 2e semaine de vie du nourrisson, atteint son intensité maximale lors de son 2e mois, puis diminue et se stabilise vers 4-5 mois de vie.
Les accès de pleurs sont souvent prolongés et inconsolables.
Le nourrisson semble exprimer une souffrance (faciès douloureux).
Les accès de pleurs commencent et cessent sans raison apparente et sans avertissement .
Nous verrons les causes les plus probables : hypothèse neurodéveloppementale, digestive (coliques) difficulté de la régulation veille sommeil et les éventuelles causes organiques et je vous montrerai des moyens simples pour les apaiser ou les éviter
La « courbe normale des pleurs » a été définie la 1ère fois par Brazelton en 1962.
Elle représente un modèle de quantité moyenne d'agitation et de pleurs quotidiens.
Cette quantité est très variable d'un nourrisson à l'autre.
Les pleurs prédominent en fin d'après midi et dans la soirée.
La courbe normale des pleurs est décrite et stable depuis plusieurs décennies dans presque toutes les sociétés occidentales où elle a été étudiée .
La fréquence et la durée des pleurs augmentent jusqu’à 2 mois puis décroit progressivement
2de option : "Objectif sérénité retrouvée"
ou comment répondre aux expressions intenses des émotions du tout petit (moins de 6 ans) : peurs,opposition, colères, pleurs, agitation,...
Les neurosciences nous ont appris que l’enfant tout-petit n’a pas encore les moyens de contrôler ses émotions.
Ses peurs sont des paniques intenses, ses pleurs des torrents de larme, ses colères des ouragans dévastateurs;
Faire face à ses orages, y mettre des mots et du sens, repérer les éléments déclencheurs, mettre des limites, désamorcer la situation, tout cela permet d’éviter que n’augmentent les exigences de l’enfant et qu’à l’adolescence le besoin d’obtenir ce que l’on veut quand on veut, nécessite d’être satisfait immédiatement, sinon, l’insatisfaction déclenche une crise plus ou moins violente, et potentiellement un besoin d’auto-agression pour apporter la preuve physique de l’intensité du besoin.
Nous verrons ensemble que savoir éduquer un enfant,
c’est savoir être avec lui dans l’instant dans l’interaction,
c’est savoir adapter son discours, son attitude comportementale à ce que le moment et l’enfant réclament
Des bonus inédits si vous nous rejoignez aujourd’hui
des fiches de conseils pratiques en format pdf
un webinaire questions-réponses vers la mi-avril et,
pour tous, l’inscription à un groupe privé facebook « du trac au tac » ( TAC pour Trucs, Astuces, Conseils )
Etude de cas
Un jeune papa partage son expérience
Alice et Maria qui pour la première fois de sa vie ne se réveille presque plus la nuit. Un grand merci
Bonjour Dr Schmidt,
Comme promis des nouvelles de Maria (27 mois ) et surtout de ses nuits.
Dès le soir même nous avons mis en place votre méthode et donc le sevrage nocturne du sein.
Après 5 nuits blanches avec hurlements, tentatives de m'arracher mon haut de pyjama, beaucoup de grognements gémissements etc elle ne tète plus la nuit : victoire !! Elle a très bien compris qu'elle à son doudou, son biberon d'eau si besoin.
Elle tète très goulûment le matin du coup et n'oublie jamais le sein au réveil ça c'est sûre :-)
Par contre elle se lève entre 4- 5h tous les matins... J'espère vivement que les vacances de noël vont lui permettre d'avoir un rythme plus calme et de ne se lever que vers 7h.
Merci beaucoup pour vos conseils
Nous vous souhaitons de belles fêtes de noël et une bonne année 2020.
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Pour les pros
Accès aux 6 étapes pour offrir à votre enfant un sommeil de qualité, dès aujourd'hui, sans vous fâcher, sans craindre son opposition ou ses pleurs, et sans médicaments, même si vous avez déjà tout essayé
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